A Dunkerque, le Carnaval a une histoire vieille de plusieurs siècles. Il tire son origine dans les pratiques festives et religieuses des jours gras précédant le début du Carême. Une ordonnance du Magistrat du 16 janvier 1676 réglemente déjà la sortie des masques. L’originalité du Carnaval dunkerquois tient du fait qu’aux XVIIème et XVIII siècles les armateurs offrent une " foye " aux pêcheurs à Islande, cela signifie qu’en plus d’une avance sur salaire les marins bénéficient également d’un festin, ou d’une fête, en partie payée par l’armateur. Cette fête donnée avant le départ pour six mois de mer, avec l’isolement, la crainte du naufrage et les conditions de vie précaire que cela comporte, est à l’origine de la Visshersbende (bande des pêcheurs en flamand), cependant elle est encore distincte du Carnaval des jours gras. Le flamand est à cette époque la langue parlée à Dunkerque et les chansons entonnées par les marins sont alors toutes en flamand.
DUNKERQUE dont le nom vient des mots flamands signifiant : " L’église des dunes " Sa situation à la mer du Nord la rend le troisième port de commerce français. Eolienne dunkerquoise * La première fut posé en 1989. 
Le pot’je Vleesch (viande en pot) est une terrine de 4 viandes en gelée dont on se régale depuis toujours dans les Flandres, particulièrement aux environs de Dunkerque. Dans ces régions, le Pot’Je Vleesch constitue souvent le plat de résistance du repas, accompagné volontiers de frites ou de chips et de salade. Parfois, c’est l’entremets très apprécié lors des plantureux repas des fêtes familiales, telles mariages ou communions et des kermesses 
Jean Bart, corsaire de Dunkerque, né le 21 octobre 1650. Il fût au service du roi Louis XIV. Il commence à naviguer à l’âge de douze ans. L’exploit le plus célèbre du corsaire dunkerquois dâte de 1694 quand il s’empare aux dépens des hollandais, au large de Texel, d’un énorme convoi de 130 navires chargés de blé. Cette prise, effectuée en période de disette fait de Jean Bart un héros national et lui vaux ses lettres de noblesses 
Le beffroi de Dunkerque, qui date de 1440 et culmine à 58 mètres, connut le double usage au fil des siècles d’être une tour de guet et le clocher de l’église Saint Eloi. Le carillon, qui rythme quotidiennement la vie locale, s’exalte les jours de fête par la grâce d’un maître-carillonneur.